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Ghazal en pleine création
Exposition
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“Ghazal en pleine création”
Exposition

L’exposition “Ghazal en plein création” propose une mise en lumière et une documentation du processus de création du sepctacle “Ghazal” (Conversation avec une femme) de la Compagnie Jours Dansants. Des photos et vidéos prises lors de leurs rencontres avec Ebtesam, Lena et Afraa, ainsi que de leur résidence artistique, accompagnées de la musique composée par Guillaume Léglise, permettront de s’immerger dans le processus de création de ce projet artistique pluridisciplinaire, qui sera ensuite présenté en live lors de l’édition 2021.
Exposition réalisée par Tiffany Duprés, en partenariat avec la Compagnie Jours Dansants.
Réalisatrice et photographe documentaire, Tiffany Dupés mêle immersion et approche subjective du cadre dans sa réalisation.
Site officiel : la compagnie Jours Dansants
Mise en scène et chorégraphie : Marjory Duprés
Réalisation documentaire : Tiffany Duprés
Interprètes : Marik Renner, Mahmoud El Haddad, Dalia Naous
Création musicale live : Guillaume Léglise
Dramaturgie : Sarah Di Bella
Scénographie : Marta Pasquetti
Création lumières : Manuel Desfeux
Vidéaste, régie vidéo : Nicolas Comte
Costumes : Marion Xardel
Production : Compagnie Jours Dansants
Coproductions : M.A.L de Laon – CCN de Roubaix
GHAZAL
Ghazal (Conversation avec une femme) est un projet de création qui propose une immersion dans le parcours intime de femmes syriennes ayant vécu l’exil. Trois interprètes venant d’Égypte, du Liban et de France, activent les matières documentaires dans des situations d’énonciation qui sont aussi des situations d’écoute, de re-enactment et de remémoration personnelle. C’est pourquoi la rencontre inédite des matières mémorielles, aussi bien historiques que théâtrales, ouvre la scène autant à la danse qu’au cinéma documentaire en direct, ainsi qu’à la création musicale au plateau. Dix ans après la révolution syrienne, convier les arts vivants autour de l’écoute et de la révolte comme devenir révolutionnaire – nous le croyons nécessaire. Dans l’espace intime d’une chambre détruite, à reconstruire, ils.elles rejouent ces histoires, nous racontent les leurs, ouvrent des espaces-frontières pour interroger la fabrique du regard et déplacer la perception entre Je, Nous et Eux.